Terminer un livre en un minimum de jets

Fut un temps où pour mon travail je devais réviser le même manuscrit jusqu’à cent fois au moins. J’ai ainsi appris la patience dans la relecture et la réécriture. Toutefois, dans mes romans, ce n’est pas un procédé que j’emploie car c’est à s’en dégoûter à jamais de son écrit et surtout cela est bien trop long et épuisant. Ainsi, quelle méthodologie ai-je finalement mis en place ? De quoi me suis servi pour mes neufs écrits déjà publiés et pour ceux à venir ?

Photo de Lisa Fotios sur Pexels.com

Étape 0 (facultative, dépend du genre littéraire)

Création de l’univers, de cartes, d’arbres généalogiques.

Étape 1

Recherches, prises de notes sur les personnages et sur les moments clés de l’intrigue.

Étape 2

Rédaction du premier jet.

Étape 3

Relecture du premier jet. Pendant cette relecture, prise de note sur chaque chapitre afin de cibler les incohérences qui auraient pu se glisser dans l’histoire et réécriture des passages qui ne vont pas. Je corrige les fautes et les coquilles qui me sautent aux yeux. C’est aussi à ce moment là que j’ajoute ou que j’enlève des scènes. On obtient donc le deuxième jet.

Étape 4

Relecture du deuxième jet. Pendant la relecture, je lance le correcteur orthographique du logiciel d’écriture pour voir les grosses erreurs que j’ai oublié puis je lance Antidote pour corriger en détails. J’en profite pour reformuler quelques phrases. On obtient le troisième jet.

Étape 5

Je relis le troisième jet et j’enlève les coquilles restantes si j’en vois. Je l’envoie à ma primo lectrice qui me fera ses commentaires sur la mise en page, s’il manque des mots et son avis sur l’histoire. Je corrige au fur et à mesure de ses commentaires. Puis je relis une ultime fois. On obtient le quatrième jet.

Étape 6

Je publie ce quatrième jet et donne une version papier à mon ultime correctrice (ma maman). En général elle remarque quelques ultimes fautes, que je corrige. Je mets alors à jour les epub (Kobo, Bookelis) et Wattpad. Et je publie alors le PDF sur le blog en version accessible pour les personnes Dys.

Je ne parle pas ici ni du titre ni de la couverture car ils existent depuis bien longtemps avant que je ne commence la rédaction! Ça n’appartient donc pas, pour moi, au processus.

Et vous, comment procédez-vous?

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Exercices d’écriture : image de l’hiver, éclosion du printemps

Hello! Voici une des nouvelles séries d’articles de cette année. Une fois par saison, je vous proposerai quelques petits exercices d’écriture. Relèverez-vous le défi ?

1- Writing prompts => continuez l’histoire!

«La lampe de son bureau clignota et son plaid glissa de ses épaules. Elle murmura des excuses, oubliant parfois que l’esprit du vieil homme lisait plus doucement qu’elle.»

«Vous prenez le train pour rentrer chez vos parents pour le réveillon de Noël. Une fois à la gare, vous réalisez que la ville a disparu. Ni ruines, ni champ de bataille, ni cratère. Juste de la neige immaculée à perte de vue.»

«Cinquante ans après avoir été pris dans une avalanche, tu es ranimée par un rituel qui ne t’étais pas destiné.»

«Tu sauves un chaton frigorifié un soir de neige. Le lendemain un démon veut récupérer son familier.»

«Le printemps arrive et un grand banquet est organisé chez les fées.»

«Dans ce village tout le monde parle des bourgeons fantômes qui éclosent au printemps. Tu pensais à une légende jusqu’à ce mois d’avril. Jusqu’au chaos.»

2- Les images => créez un poème à partir de ces décors !



Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.11: les verbes pronominaux

Hello! Nous voici dans le dernier article, qui sera consacré aux verbes pronominaux. Bonne lecture!

1- Un verbe accidentellement pronominal est un verbe qui peut se former avec un pronom réfléchi mais qui existe aussi sans le pronom réfléchi.
On l’oppose souvent au verbe essentiellement pronominal.
Il existe des cas particuliers de verbes accidentellement pronominaux: verbes non réfléchis et verbes de sens passif.

2- Un verbe pronominal non réfléchi est un verbe pronominal dont l’action ne se rapporte pas sur le sujet.

3- Verbes accidentellement pronominaux:
*se battre
* se poser des questions
*se laver
*se gratter
*se baigner
*s’entraîner
*se parler
*s’apprécier
*s’écrire
*se fatiguer
*s’amuser
*se téléphoner
*se recueillir
*se reposer
*se contredire
*s’intéresser
*s’installer
*se procurer

4-Verbes pronominaux non réfléchi:
*se saisir
*se douter que
*s’apercevoir de
*se passer de
*s’apercevoir de
*s’attendre au pire
*se jouer
*s’attaquer

5-Verbes essentiellement pronominaux:
*s’évanouir
*s’évader
*s’écrier
*s’arroger
*s’égosiller
*s’enfuir
*s’exclamer
*se repentir
*s’absenter

6-Pour les verbes pronominaux de sens passif, le participe passé s’accorde toujours avec le sujet.

7-Pour les verbes essentiellement pronominaux, om faut toujours accorder le participe passé , sauf pour le verbe « s’arroger » (qui s’accordera avec le COD s’il est placé avec le participe).

8- Pour les verbes accidentellement pronominaux, le participe passé s’accorde avec le COD s’il est placé avant, comme s’il s’agissait de l’auxiliaire avoir.

9- Pour les verbes pronominaux non réfléchi, il faut toujours accorder le participe passé sauf pour « se plaire », « se déplaire », « se complaire » et « se rire ».

Et voilà! Ceci était l’ultime article de la série « les mystères du français ». J’espère qu’elle vous aura plu!

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.10: c’est une opportunité?

Hello! Nous voici avec l’avant-dernier épisode de cette série, bonne lecture!

1- « De nouveau » (refaire une action à l’identique) ≠ « à nouveau » (refaire une action différemment)

2- « Aucun » et « aucune » prennent un « s » s’ils sont suivis d’un nom qui n’existe qu’au pluriel ou qui, au pluriel, prend un sens particulier.
D’aucuns = quelques-uns

3- « Opportunité » (arrive au bon moment, moment opportun) ≠ « chance, occasion »

4- « Rien moins que » (nullement, en aucune manière) ≠ « rien DE moins que » (tout à fait, vraiment)

5- « Commencer une réunion » et « faire démarrer une voiture ».
« Démarrer » ne s’emploie avec un COD (transitivement) que dans la marine. « Débuter », quant à lui, peut s’utiliser transitivement.

6- L’article reste invariable en cas de superlatif absolu.

7- « À » ne doit être utilisé que pour exprimer l’approximation que si les deux nombres qu’elle sépare ne se suivent pas ou s’ils se rapportent à des quantités susceptibles d’être divisée. sinon on utilise « ou ».

8- « À contrecœur » et « aucun souci »

Et voilà! Rendez-vous le 9 février pour le prochain (et dernier) épisode.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.9: loin de là

Hello! On s’approche doucement de la fin de cette série, avec aujourd’hui l’article neuf sur onze. Bonne lecture!

1- « D’où » (mouvement hors d’un lieu) ≠ « dont » (provenance, abstrait)

2- On dit « déblatérer contre » et « laisser échapper »

3- « Éponyme » = qui donne son nom à quelque chose

4- « Emprise » (domination intellectuelle et morale) ≠ « empire » (chose, sentiment, dépendance excessive)

5- « Cru » (croire) ≠ « Crû » (croître)

6- Dans le cadre d’un pluriel de majesté ou de modestie, un « nous » est mis pour « je ». L’adjectif et le participe passé qui s’y rapportent, restent au singulier au contraire du verbe.

7- Quand « ou » coordonne deux noms au singulier, le verbe se met au singulier si l’un des deux termes exclut l’autre.

8- Quand deux sujets sont coordonnées par « ainsi que », « avec », « comme », « et surtout »: si le second est placé entre virgules, le verbe est au singulier.

9- « C’est là que je vais » et « c’est de ça que je parle »

10- Un nom de famille est invariable, sauf si’il s’agit d’une famille/dynastie illustre. Et cela ne fonctionne pas si ce nom ne contient qu’une personne (exemple: Robespierre, Voltaire).

11-On met des minuscules aux points cardinaux sauf si on parle d’une région, d’une entité politique ou une unité géographique bien définie.

12- Chaque fois que « gens » est précédé de deux adjectifs dont le second a la même forme aux deux genres, le premier est au masculin.

13- « Dans » + contenant / plusieurs pages ≠ « sur » + surface

14- « Bien que », « quoique », « encore que » sont suivis du subjonctif.

15- « Emporter, emmener » (on insiste sur le point de départ) ≠ « apporter, amener » (on considère le point d’arrivée)
« Apporter » s’utilise pour les inanimés, les choses concrètes ou abstraites.
« Amener » s’utilise pour les animés.
Si on n’a pas à porter ce que l’on déplace, il faut utiliser « amener ».

16- « Loin de là », « tant s’en faut » et « bien au contraire »

Et voilà! Rendez-vous le 26 janvier pour le prochain épisode.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.8: une alternative

Hello! Nous voici déjà dans l’épisode huit de cette série d’articles. Bonne lecture!

1- Après « il suffit » on n’ajoute pas « seulement ».

2- « De suite » = d’affilée. Sinon il faut utiliser « tout de suite ».

3- « Express » invariable (rapide) ≠ « exprès » (expresse. Exprime formellement la pensée de quelqu’un ou utilisé en adjectif invariable)

4- On utilise « bien que » et pas « malgré que ». On tolère toutefois « malgré qu’il en ait » (malgré lui)

5- « À vélo » et « en voiture »
Sur un véhicule -> on utilise « à »
Dans un véhicule -> on utilise « en »

6- « Conséquent » (logique, pour un raisonnement) ≠ « important » (significatif, pour un salaire)

7- Quand l’adverbe « tout » précède un adjectif féminin commençant par un « h », il s’accorde avec lui si c’est un « h » aspiré. Sinon il reste invariable.

8- « Toute à vous » (est réservé au langage de la passion) ≠ « tout à vous » (pas plus que de la courtoisie)

9- « Tout » = entièrement, complètement. Est invariable. Exception: cf n°7

10- « Recouvrer » est plus précis que « retrouver ».

11- Une alternative contient déjà deux termes. Par contre on peut parler de deux possibilités. Une alternative n’est PAS une solution de remplacement.

12- On commémore un événement et on célèbre un anniversaire.

13- Le « h » aspiré ne supporte ni liaison, ni élision.

14- La foire d’empoigne

15- Le participe passé d’un verbe comme « courir », « coûter », « mesurer », « peser », « valoir », « vivre », reste invariable si ce dernier est construit avec un complément circonstanciel indiquant une mesure, un poids, une durée ou un prix.

16- Les noms masculins en « -ote » et pour les féminins on ne double pas le « t » sauf si c’est un diminutif (comme pâlotte). Les seules exceptions sont « fiérote », « petiote » et « sotte ».

17- « Être intéressé par quelque chose »
« Cela l’intéresse de + infinitif »

18-On met une majuscule sur les noms désignant l’habitant d’un pays, d’une région, d’une ville ou les membres d’une ethnie.

Et voilà! Rendez-vous à la nouvelle année, le 5 janvier 2022 pour le prochain épisode.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.7: pléonasme grammatical

Hello! Bienvenue dans le septième épisode de cette série! Bonne lecture!

1- Une fraction s’écrit sans trait d’union, sauf s’il s’agit du nom « trois-quart ».

2- « Avatar » = changement, transformation

3- « Nouveau-nés » et « premiers-nés »

4- « Inclinaison » (désigne l’état de ce qui est incliné) ≠ « inclination » (mouvement du corps, peut être remplacé par « penchant »)

5- Le trait d’union d’union entre « là » et un nom quand il est immédiatement précédé d’un adjectif démonstratif. Maintenu quand c’est une indication de nombre qui sépare le nom du démonstratif.

6- J’avais déjà parlé des couleurs ici.
Les couleurs employées comme noms. Si elles sont composées de deux mots, il y a trois cas:
*invariabilité si les deux sont des couleurs. Mettre un trait d’union.
*marque du pluriel à la couleur si le deuxième mot n’est pas un nom
*les deux sont au pluriel si couleur + adjectif
Lorsque les adjectifs de couleurs sont juxtaposés ou coordonnés, ils peuvent rester au singulier si tous les éléments ont les deux couleurs. Sinon, pluriel.

7- Attention aux pléonasmes grammaticaux! (comme « c’est là où » )

8- Nom-chef. L’absence de trait d’union si c’est une indication de grade, devant un nom de métier.

9- « Bailler » (donner. Bailler belle à quelqu’un = chercher à tromper) ≠ « bayer » (rester bouche bée, bayer aux corneilles) ≠ « bâiller » (autres cas)

10- « fût-ce » (même) ≠ « ne fût ce » (ne serait-ce que)

11- Le nom qui suit les adjectifs numéraux ordinaux coordonnés reste au singulier si le déterminant, répété, est lui-même au singulier.

12- « Bénit » (adjectif quand il y a eu une consécration rituelle) ≠ « béni » (tous les autres cas)

13- Si « en » est un COD, le participe passé est invariable.
Si « en » peut être enlevé, on accorde le participe passé avec son vrai COD.

14- « Le peu de » -> manque, accord du participe passé avec lui

« Le peu de » -> suffisant, accord avec le complément

15- Si « ressortir » signifie sortir encore, il se conjugue comme « sortir ».
Si « ressortir » signifie relever de, dépendre de, il se conjugue comme « finir ».

16- « Trop de », accord du verbe avec le complément sauf si l’accent est mis sur le « trop ». Le verbe reste alors au singulier.

17- « Subit(e) » = soudain

Et voilà! Rendez-vous le 29 décembre pour le prochain épisode.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.6: jadis et naguère

Hello! On se retrouve pour le sixième épisode de cette série, ce qui signifie que nous avons déjà dépassé la moitié. Bonne lecture!

1- « -iatre » (suffixe médical) ≠ « -âtre » (péjoratif)

2- « Détoner » (exploser, détonation) ≠ « détonner » (contraster, choquer)

3- Au vu / su de ≠ à vue d’œil ≠ en vue de

4- « Vingt » et « cent » sont invariables dans des locations.

5- Par acquit de conscience

6- Une réitération avec un verbe ayant pour initiale un « s », le « s » est doublé sauf pour « resaler », « resalir » et « resituer ». À noter que « ressurgir » = « resurgir »

7- Là où le bât blesse

8- « Quelque + nom + que » est variable.

9- « Causer littérature » -> suppose un entretien où plusieurs interlocuteurs parlent.

10- Quasi-nom
Quasi adjectif/adverbe

11- « Aller de conserve » (route ensemble) ≠ « de concert » (concertation)

12- « Décrépit » (décrépitude) ≠ « décrépi » (qui a perdu son crépi)

13- « Achalandé » = qui a beaucoup de clients

14- Ayants droit

15- « État » ne prend une majuscule que quand ça désigne un pays, une nation, une autorité souveraine.

16- « Naguère » (réfère à un passé proche) ≠ « jadis » (autrefois, temps reculés)

17- Entre 1001 et 1999 on peut écrire « mil ».

18- « Krach » (effondrement de la Bourse) ≠ « crack » (as ou dérivé cocaïne) ≠ « une craque » (mensonge) ≠ « un crac  » (bruit)

19- ès + pluriel -> suivi d’un trait d’union que dans les noms de localité.

20- « La gent » (espèce, ensemble de personnes) ≠ « gent(e) » (adjectif noble, gentil)

Et voilà! On se retrouve le 8 décembre pour la suite.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.5: ce sera à vos dépens

Hello! Si vous avez manqué le premier article (qui explique aussi le concept), c’est par ici! Et sinon, vous trouverez les trois autres ici, ici et ici.

1- « Faire bonne chère » = bien accueillir

2- rEbattre les oreilles

3- Les noms et adjectifs se terminant par « s », « x », « z » restent invariables.

4- À vos dépens.

5- Les verbes en « -oudre » gardent leur « d » aux trois personnes du singulier.
Ceux en « -soudre » le perde.

6- « pécuniaire » au masculin et féminin.

7- La « Lune » prend une majuscule seulement lorsque l’on parle vraiment du satellite.

8- « Le plus de xxxx possible » -> « possible » reste invariable.

9- « Un(e) martyr(e) » (une personne) ≠ « un martyr » (supplice)

10- « Jeter l’opprobRe sur quelqu’un » -> « opprobre » est masculin. Signifie honte, déshonneur.

11- « Réanimer » (seulement au sens strict médical) ≠ « ranimer » (sens large)

12- En son for intérieur

13- « Ingambe » -> adjectif s’appliquant à quelqu’un qui, en dépit de son âge, est resté alerte.

14- « Mettre à jour » (actualiser) ≠ « mettre au jour » (révéler)

15- « Un satyre » ≠ « une satire » (en littérature)

16- « S’égailler » (se disperser, s’éparpiller) ≠ « s’égayer »

17- « Syllogisme » -> raisonnement déductif rigoueux

18- « Prémices » féminin et invariable (première manifestation de quelque chose) ≠ « prémisse » (sens beaucoup plus restraint, désigne chacune des deux premières propositions d’un syllogisme qui en comporte trois.)

19- « Ballade » (composition musicale) ≠ « balade » (promenade)

20- « Initier une personne » et « lancer un projet »

21- « Moins de deux » + verbe au pluriel

22- « S’est rendu compte » -> « rendu » est invariable

23- « Un gril ,des grils » (ustensiles) ≠ « un grill » (restaurant)

24- « Fruste » -> sans éducation, grossier

25- Ledit, dudit

26- Si « quelque » signifie « environ » ou « à peu près » il est invariable.

Et voilà, ça sera tout pour cette fois. Rendez-vous le 24 novembre pour la suite!

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema

Les mystères du français vol.4: est-ce une collusion? Une sujétion?

Hello! Si vous avez manqué le premier article (qui explique aussi le concept), c’est par ici! Et sinon, vous trouverez les deux autres ici et ici.

1- Le pluriel de « banal » est « banals ».

2- Collusion (entente malhonnête) ≠ collision

3- Le participe passé d’un verbe qui a pour complément un infinitif ou une proposition sous-entendue reste invariable.

4- Suggestion (idée, pensée) ≠ sujétion (dépendance, asservissement)

5- Une décade (10 jours) ≠ une décennie (10 ans)

6- On parle d’une « saynète ».

7- Agonir (accabler de) ≠ agoniser

8- On préférera utiliser « résoudre » à « solutionner ».

9- Aussi + adjectif ou adverbe
Autant + nom ou verbe

10- « Au temps pour moi »

11- « redire » se conjugue comme « dire », ce qui n’est pas le cas de « contredire » et « prédire ».

12- À + ville

13- « à l’envi » = à qui mieux mieux

14- « Fomenter un complot » = tramer, provoquer

15- « séant » (convenable, décent) ≠ « seyant » (va bien) ≠ céans (ici). Ce dernier ne s’utilise plus.

16- « somptuaire » est relatif à la dépense.

17- oBnuBiler

18- Se faire fort de + infinitif = se dire capable de. « Fort » est invariable.

19- « conjoncture » (situation) ≠ « conjecture » (hypothèse)

20- force + nom pluriel = beaucoup de. Invariable.

21-« aéropage » = assemblée

22- « hiberner » ≠ « hiverner »

23- « Être légion » est invariable

24- Le préfixe « dys » -> dommage, difficulté
Le préfixe « dis » -> séparation, contraire

25- « un volatile » (oiseau) ≠ « volatil » (instable)

26- « Être en butte à » = être la cible de, être exposé à

Et voilà! Rendez-vous le 3 novembre pour la suite.

Prenez soin de vous et à bientôt.

Salema