Hello! Fin 2022, j’ai assez peu lu (hormis des exclus d’une amie) et j’ai ensuite recommencé doucement en 2023. Les pleurs de ma pauvre PAL se sont faits entendre!
1- My Hero AcademiaT.34 de K. Horikoshi. La fin se rapproche de plus en plus.
2- Card Captor Sakura T.12 des Clamp. Quelle cruauté d’arrêter là, mais on en apprend beaucoup dans ce tome !
3- Un amour insensé de T. Junichirô. Alors autant cet auteur a écrit des pépites, autant là je n’ai pas pu finir. La relation entre les deux protagonistes (mineure/majeur) met extrêmement mal à l’aise.
4- L’affaire du «Yanagiyu» et autres récits étranges de T. Junichirô. Recueil de nouvelles un peu trop « gore » à mon goût.
5- Noir sur blanc de T.Junichirô. Ici j’ai retrouvé le style que j’aime tant chez cet auteur et une intrigue qui m’a beaucoup plu, d’autant plus que le protagoniste est un écrivain !
6- Le meurtre d’O-Tsuya de T. Junichirô. Une histoire d’amour qui tourne au drame et à l’obsession. Là encore j’ai retrouvé le style que j’aime de cet auteur. J’ai préféré Noir sur blanc, mais celui-ci était vraiment pas mal!
7- Hell’s Library #1 The Library of the Unwritten de A.J. Hackwith. L’idée même d’une bibliothèque en Enfers pour les écrits non finis est absolument géniale. Et l’histoire qui part de là … Vraiment à découvrir !
8- Hell’s Library #2 The Archive of the Forgotten de A.J. Hackwith. Je l’ai lu encore plus vite que le premier tome tellement l’histoire m’a absorbée. On découvre de nouvelles ailes de la Librairie et surtout, surtout on en apprend davantage sur les manuscrits. L’évolution des personnages est aussi très bien tournée.
9- Hell’s Library #3 The God of Lost Words, de A.J. Hackwith. Un magnifique dernier tome qui conclu parfaitement la série. J’ai adoré!
Il y a ceux qui lisent plusieurs livres en même temps, ceux qui font des analyses ou laissent des commentaires. Il y a ceux qui liront plusieurs livres en une semaine et d’autres qui mettront des mois à en finir un. Il y a les collectionneurs, ceux fidèle à un auteur ou encore ceux qui vont boycotter des sorties. Dans ce large éventail de profils, certains me parlent plus que d’autres.
Mais … et moi, comment je lis?
À moins qu’il s’agisse d’Haruki Murakami ou d’Amélie Nothomb (dont j’achète tous les livres), je me fie en priorité au titre. Si le titre ne me plaît pas, peu importe le beauté de la couverture ou la qualité du résumé, je n’irai pas plus loin. Si le titre m’a interpelé, il faut ensuite que la couverture me plaise. Il est très rare que je passe outre une couverture pour aller directement au résumé.
Par contre, une fois le livre ouvert et même une fois terminé (à moins que j’ai détesté/adoré, pour ne pas/en racheter d’autre) je n’ai aucune idée du nom de l’auteur. Ou de la maison d’édition. Me plonger dans la vie de l’auteur? Très peu pour moi. Autrice moi-même, c’est à mes histoires que je souhaite que l’on s’intéresse, pas à moi. J’aime savoir mes récits lus, même s’il n’y a pas d’avis, car c’est la notion de partage d’univers qui m’intéresse. Moi, en tant que personne, je n’ai rien à y faire. Et moi, en tant que lectrice, je ne m’intéresse pas le moins du monde à la vie et au CV des auteurs et autrices que je lis. Si leur style d’écriture, leur univers et leur récit m’a transporté, je suis satisfaite. Comblée. Leur travail est accompli. Je n’ai pas besoin de les connaître. Il en va de même pour les maisons d’éditions. Comme tout le monde, je connais des grands noms comme Hachette, Milady ect, mais je n’ai aucune idée de ce que chacun produit. Et encore moins de quelle maison sortent les romans que j’achète. Pourquoi? Et bien, depuis très jeune j’ai toujours adoré lire. Mon but était donc de récupérer les histoires que je souhaitais découvrir, ni plus ni moins. Et, à bientôt 34 ans, je n’ai pas tellement changé. Je veux juste lire. Peu importe qui a décidé de sortir ledit livre / ebook. Dans mon échelle des standards, ce n’est qu’un détail. Pour moi, l’essentiel reste le contenu. Parce que si l’histoire est trop tordue, au fond, l’auteur ne l’est-il pas aussi ?
Il est normal de bannir des écrits contenant des sujets illégaux (je pense à l’affaire de la BD d’Angoulème de cette année), autant, pour le reste, chacun est plus ou moins sensible à certains sujets. Par contre, dans ma logique, je ne cours pas après les romans « own voice ». D’ailleurs, je trouve que cette mode des lecteurs à chercher des livres écrits par un type d’auteur précis (nationalité, orientation sexuelle ect) est presque malsaine. Cela pousse les auteurs et autrices à devoir se dévoiler pour pouvoir vendre et se dire légitime à propos d’un sujet. Pour moi, ce n’est pas ça la lecture. Ni l’écriture. Le passé, les maladies, l’orientation ou même la religion d’un auteur ne regarde personne, même si, à l’ère des réseaux sociaux, la plupart ont peut-être tendance à oublier la limite entre vie privée et publique. Si le texte vous transporte, si l’univers vous plaît, l’auteur a réussi. Peu importe le reste.
«Gratuit». Un mot qui plaît, particulièrement en cette période compliquée pour tout le monde; mais aussi un mot qui divise lorsque cela touche au domaine de la culture et de l’art.
«Gratuit». Un concept, j’ai l’impression qui tend à se perdre dans les générations après moi. Combien de créateurs j’ai vu sur les réseaux affirmer faire payer leur ouvrage dédicacé à leurs parents ou une illustration à une amie proche. Un peu comme si donner son art en faisait diminuer sa valeur, un peu comme si le moindre service se vendait désormais. Jamais il ne me serait venu à l’idée de me faire payer mes romans papiers commandés par ma maman et mes deux meilleures amies, ni les heures passées à faire des relectures de mémoires de mes amies. Jamais il ne me viendrait non plus à l’idée de demander de l’argent pour les projets coutures commandés par mon mari, mes amies ou ma maman. Mais, c’est pareil dans l’autre sens. Une amie qui tricote, jamais elle ne me fera payer la laine, le patron ou quoique ce soit d’autre. Mon amie qui fait mes couvertures de romans ou la beta lecture… Pensiez-vous vraiment qu’elle était payée? Tout est une question d’échange. D’échange et de temps. Parce que c’est de notre temps que l’on offre lorsque que quelque chose est gratuit. Et aujourd’hui, tout le monde veut aller trop vite.
Moi la première, j’apprécie la possibilité d’être livrée rapidement. Mais à part ça, je ne comprends pas pourquoi les plus jeunes veulent aller si vite. Vite partir de chez eux (à moins de maltraitance évidemment), vite grandir, vite tout découvrir… Dans beaucoup de jeux « gratuits » sur mobile, il y a même une option payante pour accélérer le temps pour que tout s’accélère. Mais … Pourquoi être si pressé? Et dans un jeu qui plus est? Même avant d’être si malade, je n’ai jamais aimé courir. Mes pensées vont à toute allure parfois, c’est vrai. Mon corps aussi autrefois s’agitait. Mais malgré l’hyperactivité, je n’étais pas si pressée. Et aujourd’hui je ne le suis plus du tout. Bien sûr, quand je travaillais, comme tout le monde, je me dépêchais toute la journée. Mais une fois chez soi, à quoi bon? La Terre n’arrêtera pas de tourner si le ménage n’est pas fait. Et surtout, depuis longtemps, j’aime juste parfois regarder le temps qui passe. M’asseoir sur une marche dehors ou accoudée à la fenêtre et ne penser à rien. Juste observer le ciel et les feuilles. Le vent. Le temps qui s’enfuit sans que je ne puisse le quantifier. Je ne suis pas pressée car, quoi que je fasse, les heures continueront leur route. Alors autant les prendre à mon rythme.
«Gratuit». Probablement l’un de mes mots préférés. Parce que lorsque vous donnez gratuitement, vous recevez aussi gratuitement vous savez? Donner et recevoir. Mais aussi, au-delà du cercle privé, la notion de gratuité permet une plus grande accessibilité à la culture et à l’art. Les expos/musées à accès libre, les bibliothèques et médiathèques, les formations gratuites, la musique (oui Youtube est gratuit. Récupérer sur son ordi et s’en faire une playlist aussi. Inutile de se payer des abonnements hors de prix) … Tant de ressources merveilleuses et précieuses. C’est en partie pour ça que la version numérique de mes écrits est entièrement gratuite. Je veux que tout le monde y ait accès. La seconde raison est que je savais que ça finirait sur un site de téléchargement s’il était payant (comme une bonne partie des romans autoédités et édités) donc autant qu’il soit gratuit dès le départ. Et puis, de nos jours, les gens ont de moins en moins les moyens d’investir dans des loisirs ou dans de la décoration. C’est triste, moi la première je n’achète plus autant de livres papier par exemple. D’autres ne pourront plus se permettre des illustrations, livres ou goodies fait main. Le fait est que, ne serait-ce que pour mes finances, je me retourne vers le gratuit, l’échange et ce que je fais moi-même. Parce que même si j’admire certaines créatrices, certains auteurs et autrices qui en font leur métier, à mes yeux, ce n’est pas une voie, actuellement, qui peut être généralisée. Enfin, une voie où trop de monde peut s’engouffrer au niveau professionnel et en faire son unique gagne-pain. Le prix du papier augmente, les tarifs des graphistes, illustrateurs aussi. Mais, en face, de moins en moins de personnes peuvent sortir des sommes à trois chiffres. Et même à deux chiffres. Et pendant ce temps les IA d’illustrations montent en succès et sont libres d’accès. On peut récupérer n’importe quel livre gratuitement si l’on sait où chercher. Pareil pour la musique. Ou mêmes les logiciels. Vous êtes choqués? Même certaines entreprises le font pour effectuer des économies. Personne ne veut payer.
«Gratuit». Je sais que ce mot est haï par bien des créateurs sur les réseaux car cela va à l’encontre du business qu’ils tentent de créer. «Gratuit». Une notion qui rend accessible tant de contenus pour ceux qui n’ont pas les moyens. Mais pour les autres aussi. La gratuité est une forme d’équité finalement. «Gratuit». Un mot pour deux camps. Je comprends les deux points de vue. Je conçois que l’on veuille vivre de sa passion, tout comme je connais le besoin d’accéder à des loisirs/culture gratuitement. Pour moi, aucun des deux mondes n’est à blâmer car d’un côté dort l’équité avec se gratuité mais de l’autre tente de s’étendre la liberté de vivre de son art et aux prix qu’on le souhaite pour en vivre. Aucun n’est à blâmer, mais ils se battent et, parfois, je me demande qui gagnera ou si l’équilibre, comme aujourd’hui, persistera.
Fut un temps où pour mon travail je devais réviser le même manuscrit jusqu’à cent fois au moins. J’ai ainsi appris la patience dans la relecture et la réécriture. Toutefois, dans mes romans, ce n’est pas un procédé que j’emploie car c’est à s’en dégoûter à jamais de son écrit et surtout cela est bien trop long et épuisant. Ainsi, quelle méthodologie ai-je finalement mis en place ? De quoi me suis servi pour mes neufs écrits déjà publiés et pour ceux à venir ?
Création de l’univers, de cartes, d’arbres généalogiques.
Étape 1
Recherches, prises de notes sur les personnages et sur les moments clés de l’intrigue.
Étape 2
Rédaction du premier jet.
Étape 3
Relecture du premier jet. Pendant cette relecture, prise de note sur chaque chapitre afin de cibler les incohérences qui auraient pu se glisser dans l’histoire et réécriture des passages qui ne vont pas. Je corrige les fautes et les coquilles qui me sautent aux yeux. C’est aussi à ce moment là que j’ajoute ou que j’enlève des scènes. On obtient donc le deuxième jet.
Étape 4
Relecture du deuxième jet. Pendant la relecture, je lance le correcteur orthographique du logiciel d’écriture pour voir les grosses erreurs que j’ai oublié puis je lance Antidote pour corriger en détails. J’en profite pour reformuler quelques phrases. On obtient le troisième jet.
Étape 5
Je relis le troisième jet et j’enlève les coquilles restantes si j’en vois. Je l’envoie à ma primo lectrice qui me fera ses commentaires sur la mise en page, s’il manque des mots et son avis sur l’histoire. Je corrige au fur et à mesure de ses commentaires. Puis je relis une ultime fois. On obtient le quatrième jet.
Étape 6
Je publie ce quatrième jet et donne une version papier à mon ultime correctrice (ma maman). En général elle remarque quelques ultimes fautes, que je corrige. Je mets alors à jour les epub (Kobo, Bookelis) et Wattpad. Et je publie alors le PDF sur le blog en version accessible pour les personnes Dys.
Je ne parle pas ici ni du titre ni de la couverture car ils existent depuis bien longtemps avant que je ne commence la rédaction! Ça n’appartient donc pas, pour moi, au processus.
Hello! Voici une des nouvelles séries d’articles de cette année. Une fois par saison, je vous proposerai quelques petits exercices d’écriture. Relèverez-vous le défi ?
1- Writing prompts => continuez l’histoire!
«La lampe de son bureau clignota et son plaid glissa de ses épaules. Elle murmura des excuses, oubliant parfois que l’esprit du vieil homme lisait plus doucement qu’elle.»
«Vous prenez le train pour rentrer chez vos parents pour le réveillon de Noël. Une fois à la gare, vous réalisez que la ville a disparu. Ni ruines, ni champ de bataille, ni cratère. Juste de la neige immaculée à perte de vue.»
«Cinquante ans après avoir été pris dans une avalanche, tu es ranimée par un rituel qui ne t’étais pas destiné.»
«Tu sauves un chaton frigorifié un soir de neige. Le lendemain un démon veut récupérer son familier.»
«Le printemps arrive et un grand banquet est organisé chez les fées.»
«Dans ce village tout le monde parle des bourgeons fantômes qui éclosent au printemps. Tu pensais à une légende jusqu’à ce mois d’avril. Jusqu’au chaos.»
2- Les images => créez un poème à partir de ces décors !
Hello! Nous voici dans le dernier article, qui sera consacré aux verbes pronominaux. Bonne lecture!
1- Un verbe accidentellement pronominal est un verbe qui peut se former avec un pronom réfléchi mais qui existe aussi sans le pronom réfléchi. On l’oppose souvent au verbe essentiellement pronominal. Il existe des cas particuliers de verbes accidentellement pronominaux: verbes non réfléchis et verbes de sens passif.
2- Un verbe pronominal non réfléchi est un verbe pronominal dont l’action ne se rapporte pas sur le sujet.
6-Pour les verbes pronominaux de sens passif, le participe passé s’accorde toujours avec le sujet.
7-Pour les verbes essentiellement pronominaux, om faut toujours accorder le participe passé , sauf pour le verbe « s’arroger » (qui s’accordera avec le COD s’il est placé avec le participe).
8- Pour les verbes accidentellement pronominaux, le participe passé s’accorde avec le COD s’il est placé avant, comme s’il s’agissait de l’auxiliaire avoir.
9- Pour les verbes pronominaux non réfléchi, il faut toujours accorder le participe passé sauf pour « se plaire », « se déplaire », « se complaire » et « se rire ».
Et voilà! Ceci était l’ultime article de la série « les mystères du français ». J’espère qu’elle vous aura plu!
Hello! Nous voici avec l’avant-dernier épisode de cette série, bonne lecture!
1- « De nouveau » (refaire une action à l’identique) ≠ « à nouveau » (refaire une action différemment)
2- « Aucun » et « aucune » prennent un « s » s’ils sont suivis d’un nom qui n’existe qu’au pluriel ou qui, au pluriel, prend un sens particulier. D’aucuns = quelques-uns
3- « Opportunité » (arrive au bon moment, moment opportun) ≠ « chance, occasion »
4- « Rien moins que » (nullement, en aucune manière) ≠ « rien DE moins que » (tout à fait, vraiment)
5- « Commencer une réunion » et « faire démarrer une voiture ». « Démarrer » ne s’emploie avec un COD (transitivement) que dans la marine. « Débuter », quant à lui, peut s’utiliser transitivement.
6- L’article reste invariable en cas de superlatif absolu.
7- « À » ne doit être utilisé que pour exprimer l’approximation que si les deux nombres qu’elle sépare ne se suivent pas ou s’ils se rapportent à des quantités susceptibles d’être divisée. sinon on utilise « ou ».
8- « À contrecœur » et « aucun souci »
Et voilà! Rendez-vous le 9 février pour le prochain (et dernier) épisode.
6- Dans le cadre d’un pluriel de majesté ou de modestie, un « nous » est mis pour « je ». L’adjectif et le participe passé qui s’y rapportent, restent au singulier au contraire du verbe.
7- Quand « ou » coordonne deux noms au singulier, le verbe se met au singulier si l’un des deux termes exclut l’autre.
8- Quand deux sujets sont coordonnées par « ainsi que », « avec », « comme », « et surtout »: si le second est placé entre virgules, le verbe est au singulier.
9- « C’est là que je vais » et « c’est de ça que je parle »
10- Un nom de famille est invariable, sauf si’il s’agit d’une famille/dynastie illustre. Et cela ne fonctionne pas si ce nom ne contient qu’une personne (exemple: Robespierre, Voltaire).
11-On met des minuscules aux points cardinaux sauf si on parle d’une région, d’une entité politique ou une unité géographique bien définie.
12- Chaque fois que « gens » est précédé de deux adjectifs dont le second a la même forme aux deux genres, le premier est au masculin.
13- « Dans » + contenant / plusieurs pages ≠ « sur » + surface
14- « Bien que », « quoique », « encore que » sont suivis du subjonctif.
15- « Emporter, emmener » (on insiste sur le point de départ) ≠ « apporter, amener » (on considère le point d’arrivée) « Apporter » s’utilise pour les inanimés, les choses concrètes ou abstraites. « Amener » s’utilise pour les animés. Si on n’a pas à porter ce que l’on déplace, il faut utiliser « amener ».
16- « Loin de là », « tant s’en faut » et « bien au contraire »
Et voilà! Rendez-vous le 26 janvier pour le prochain épisode.
Hello! Voici quelles ont été mes découvertes depuis la rentrée jusqu’au froid de l’hiver. Pour la 1ère partie de cette article, c’est par ici.
1- B, the beginning (2 saisons, 18 épisodes). J’ai bien aimé mais je regrette presque d’avoir vu la saison 2 (6 épisodes). En effet, la saison 1 apporte un vraie fin, bien qu’ouverte. J’aurais totalement pu me contenter de ça. Par contre le saison 2 se termine en cliffhanger et aucune suite n’est encore prévue. On ne sait donc pas quoi faire de cette non fin, bien que la saison 2 soit sympa en soi. Il s’agit d’un thriller assez étrange avec un côté mystique.
2- Eden Zero ( 1 saison, 25 épisodes). Une autre oeuvre de l’auteur de Fairy Tail (j’avais énormément aimé cet animé). Normalement je ne suis pas particulièrement fan de la SF et des histories qui se déroulent dans l’espace, mais malgré un début lent (il faut vraiment s’accrocher pour ne pas abandonner dans le trois premiers épisodes) la suite est vraiment chouette. Et puis c’est assez amusant de voir ces sortes « d’alter ego » des personnages de Fairy Tail, bien que très perturbant au début. J’ai par exemple eu beaucoup de mal à me faire que l’héroïne s’appelait Rebecca et non Lucy.
3- Shaman King (nouvelle version de 2021, 1 saison, 52 épisodes). L’histoire est chouette et ça se laisse regarder. Je n’ai ni particulièrement aimé ni détesté. J’ai apprécié le principe du shamanisme.
4- Majin Tantei Nougami Neuro (1 saison , 25 épisodes). Un animé qui a déjà 14 ans mais que je ne connaissais pas du tout. J’ai vraiment adoré! On suit une lycéenne détective et le démon mangeur de mystères qui l’accompagne. Démon qui se comporte comme un véritable démon d’ailleurs. C’était vraiment super à voir.
5- Lucifer saison 6 (10 épisodes). Même si je n’avais pas apprécié la saison 5, je voulais voir comment s’achevait la série. J’ai aimé deux événements: le mariage et la toute fin. Par contre, tout le reste, vraiment pas, surtout l’intrigue avec le nouveau personnage.
6- Fate /Grand Order: Zettai Majuu Sensen Babylonia (1 saison, 21 épisodes). 7ème singularité, axe avec Gilgamesh. Normalement, en suivant l’ordre, on aurait dû voir les deux films de Camelot (6eme singularité avec Saber) juste avant, mais honnêtement ce n’est pas bien grave. J’ai vraiment beaucoup aimé cette 7ème singularité, surtout parce que cela permet de voir beaucoup plus Gilgamesh. Après, il ne reste apparemment plus qu’un film « Solomon » pour clore le tout.
7-Luna Nera (1 saison, 6 épisodes). Série italienne. L’ambiance était top. Voir les frictions entre religion/sciences/magie était super intéressant. Par contre, il y avait pas mal de longueur et j’ai détesté la fin.
8-I Zombie (5 saisons, 59 épisodes). Beaucoup moins gore que ce qu’on pensait (et tant mieux). Et malgré les épisodes longs, j’ai adoré! L’actrice jouant Liv est vraiment douée pour incarner les multiples personnalités, c’est top. Et la fin est juste parfaite. Non, vraiment, c’était une série géniale!
9-Lost song (1 saison, 12 épisodes). Mon dieu, qu’est-ce que j’ai ri. Rien ne va dans cet animé (à part les chansons qui sont jolies): ni les habits, ni les graphismes des personnages, ni les événements. On a ri à un moment tragique (une personne qui brûle) tellement c’était mal fait. Mon mari a comparé ça à Mondo Cinematic Universe, la parodie de Disney (si vous ne connaissez pas, allez voir les vidéos du Joueur du Grenier à ce sujet, c’est absolument magnifique) et il a totalement raison.
10-Dead to me (2 saisons, 20 épisodes). Sombre et humoristique. C’était sympa mais je n’étais clairement pas le bon public et je n’ai pas su l’apprécier.
11- Komi cherche ses mots (1 saison, 12 épisodes). Un animé mignon et drôle malgré le thème difficile de l’anxiété sociale sévère qui touche l’héroïne. Je ne suis pas très fan des graphismes, mais ça m’a plu, c’était reposant et facile à regarder.
12- Blue Period (1 saison, 12 épisodes). Un animé sur l’art et la peinture. J’hésitais mais finalement j’ai apprécié dès le premier épisode.
13- Les enfants de la baleine (1 saison, 12 épisodes). J’ai fini par me laisser tenter après avoir lu énormément de retours positifs sur cet animé. J’ai trouvé l’histoire en elle-même intéressante et j’ai beaucoup aimé l’esthétique. Par contre, contrairement à beaucoup, je n’ai pas trouvé ça spécialement émouvant. En effet, quand, comme c’est le cas ici, il n’y a que du drame (et à la situation dramatique, on rajoute encore un peu de drame), pour moi c’est juste moyen et « trop ». Je suis beaucoup plus (et ait été) touchée par des épisodes d’IZombie ou Fairy Tale par exemple. Beaucoup plus.
14- Isekai Shokudou saison 2 (12 épisodes). La suite du « restaurant d’un autre monde ». On retrouve l’antre du chat, des plats délicieux servis seulement le saturni Des personnes de la saison 1 reviennent et on en découvre d’autres. C’est toujours aussi relaxant et drôle!
Hello! Nous voici déjà dans l’épisode huit de cette série d’articles. Bonne lecture!
1- Après « il suffit » on n’ajoute pas « seulement ».
2- « De suite » = d’affilée. Sinon il faut utiliser « tout de suite ».
3- « Express » invariable (rapide) ≠ « exprès » (expresse. Exprime formellement la pensée de quelqu’un ou utilisé en adjectif invariable)
4- On utilise « bien que » et pas « malgré que ». On tolère toutefois « malgré qu’il en ait » (malgré lui)
5- « À vélo » et « en voiture » Sur un véhicule -> on utilise « à » Dans un véhicule -> on utilise « en »
6- « Conséquent » (logique, pour un raisonnement) ≠ « important » (significatif, pour un salaire)
7- Quand l’adverbe « tout » précède un adjectif féminin commençant par un « h », il s’accorde avec lui si c’est un « h » aspiré. Sinon il reste invariable.
8- « Toute à vous » (est réservé au langage de la passion) ≠ « tout à vous » (pas plus que de la courtoisie)
9- « Tout » = entièrement, complètement. Est invariable. Exception: cf n°7
10- « Recouvrer » est plus précis que « retrouver ».
11- Une alternative contient déjà deux termes. Par contre on peut parler de deux possibilités. Une alternative n’est PAS une solution de remplacement.
12- On commémore un événement et on célèbre un anniversaire.
13- Le « h » aspiré ne supporte ni liaison, ni élision.
14- La foire d’empoigne
15- Le participe passé d’un verbe comme « courir », « coûter », « mesurer », « peser », « valoir », « vivre », reste invariable si ce dernier est construit avec un complément circonstanciel indiquant une mesure, un poids, une durée ou un prix.
16- Les noms masculins en « -ote » et pour les féminins on ne double pas le « t » sauf si c’est un diminutif (comme pâlotte). Les seules exceptions sont « fiérote », « petiote » et « sotte ».
17- « Être intéressé par quelque chose » « Cela l’intéresse de + infinitif »
18-On met une majuscule sur les noms désignant l’habitant d’un pays, d’une région, d’une ville ou les membres d’une ethnie.
Et voilà! Rendez-vous à la nouvelle année, le 5 janvier 2022 pour le prochain épisode.